Puis, du 21 au 26 juillet, le mercure a souvent dépassé 40 °C sur la moitié nord du pays et de très nombreux records absolus ont été battus. Hormis une période de fraîcheur assez marquée durant la première quinzaine de juin et quelques refroidissements ponctuels au mois d'août, les températures sont le plus souvent restées supérieures aux normales. En moyenne sur la saison et sur la France, la température a été supérieure à la normale* de 1,7 °C, plaçant 2019 au 3 La pluviométrie a été très contrastée. Les précipitations ont été plus conformes à la saison sur la façade ouest, mais excédentaires sur la Bretagne et le sud de l'Aquitaine. Constatation importante : après un pic historique durant l'année 2016, la température moyenne globale sur la planète semblait repartir à … N'hésitez pas à la télécharger gratuitement !Températures moyennes en Europe - mois de juillet 2019La vague de chaleur qu'a connu le continent entre la mi-juillet et la fin du mois a poussé cette moyenne dans les excès pour atteindre des niveaux jamais atteints auparavant Plusieurs capitales et pays y ont battus leurs records de chaleur absolus.Températures maximales relevées en Europe entre le 14 et le 27 juillet 2019 - jamais les +40°C n'étaient monté aussi hauts en latitude sur notre continent. Avec une température moyenne de 6,9°C, le mercure a été en … Le premier site météo pour Paris et l'île-de-France21h28 – Les pressions remontent sous l’influence d’une dorsale dirigée par l’anticyclone des Açores. Les températures en journée atteignent les 26°C.

En moyenne, sur la France et sur la saison, la pluviométrie a été déficitaire* de près de 20 %. De manière générale, la période allant du 1 er décembre 2018 au 28 février 2019, qui caractérise l’hiver météorologique, a été plus chaude que les normales saisonnières (calculées entre 1981 et 2010). Une forte anomalie positive supérieure à celle que nous avons connu en Europe Occidentale s'est également produite sur une large partie de la Sibérie occasionnant des températures caniculaires sous conditions de sécheresse. Un puissant système dépressionnaire s'est mis en place sur le proche Atlantique à partir du dimanche 23 juin. Durant l'épisode caniculaire, elles ont été 4 à 8 °C au-dessus des valeurs saisonnières avec du 23 au 25 des maximales supérieures aux normales de plus de 10 °C. Grosso modo, la météo en octobre 2019 à Paris a été juste correcte. De grandes zones de Scandinavie sont concernées par des températures maximales >+30°C.Les températures ont été très supérieures aux moyennes saisonnières en Amérique du Nord jusqu'au Groenland. Des températures maximales particulièrement chaudes ont été relevées du 25 au 28 du Centre-Val de Loire au Nord-Est et à l'Auvergne avec plus de 30 °C, puis du 29 au 31 sur les régions méditerranéennes avec des valeurs proches de 35 °C. D'une manière générale, les températures sont significativement supérieures aux normales en Asie centrale (Mer Caspienne jusqu'en Inde), en Afrique, sur toutes les Amériques ainsi qu'en Océanie exception faire de Java.Avec 0,56°C de plus que la moyenne 1981 à 2010, juillet 2019 se place en tête des mois de juillet les plus chauds jamais observés à l'échelle planétaire avec Le temps restait identique en début d'après-midi avec une augmentation des températures à 26°C en juillet 2019. L'été 2019 a été marqué par deux vagues de chaleur qui ont concerné l'ensemble du pays. En Europe La température moyenne sur l'Europe en juillet 2019 était juste au-dessus de la moyenne de 1981-2010 pour le mois. En revanche, du Nord-Est au Limousin ainsi que du Languedoc à la région PACA, le déficit pluviométrique, généralement supérieur à 30 %, a localement dépassé 60 %. Ce déficit associé aux fortes températures a ainsi contribué à un assèchement important des sols superficiels. Il est resté pratiquement stationnaire pendant plus de 5 jours. **Merci pour vos dons réguliers car le financement du site reste durablement difficile

L'été 2019 a été marqué par deux vagues de chaleur assez courtes (6 jours) mais d'une intensité record pour un mois de juin pour la première et record tous mois confondus ex æquo avec celle d'août 2003 pour la seconde. L'ensoleillement a été excédentaire** sur l'ensemble du pays. Sur l'ensemble du mois et sur la France, la température moyenne de 21,8 °C a été supérieure à la normale de 1,2 °C, classant août 2019 parmi les 10 mois d'août les plus chauds depuis 1900, loin derrière août 2003 (+4,2 °C). Les températures, souvent inférieures aux normales* durant la première quinzaine, ont été en moyenne 4 à 8 °C au-dessus du 24 au 30. Il a été plus conforme à la saison sur la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et la Corse. Pour découvrir Paris, août est un moins conseillé car la ville se vide de ses habitants partis en vacances. En moyenne, vers 7h il a fait 20°C et le ciel était presque dégagé avec quelques nuages. De nombreux records absolus tous mois confondus sont tombés avec souvent plus de 40 °C sur le Sud-Est en juin et sur le nord du pays en juillet.. En cette fin d'été, la sécheresse des sols atteint des valeurs records sur l'Auvergne, la Bourgogne, le Limousin et le Languedoc ainsi que sur les départements du Cher et de l'Indre. Le mercure n'est pas descendu en dessous de 20 °C durant 60 jours à Sète (Hérault) soit 22 jours de plus que la normale, 67 jours à Solenzara (Haute-Corse) soit 35 jours de plus que la normale ou 71 jours à Nice (Alpes-Maritimes) soit 29 jours de plus que la normale. Ainsi, du 25 au 30 juin, la canicule a été remarquablement précoce et le nouveau record absolu en France métropolitaine a été enregistré le 28 avec 46 °C en Occitanie.

Avec une température moyenne sur le pays de 29,4 °C, le 25 juillet a été la journée la plus chaude enregistrée en France, ex æquo avec le 5 août 2003. En bordure est de cette dépression, le flux de sud s'est accéléré et a favorisé la remontée d'air très chaud depuis l'Afrique.