Cette crise eut des répercussions dans le monde entier, comme en France qui eut des conséquences dévastatrices. Les prix des maisons étaient disons-le, tombés en chute libre.L’impact sur les obligations adossées à des actifs a été également énorme.
La crise financière de 2007/08 a touché simultanément de? Leur investissement perdait donc rapidement de la valeur alors qu’il était supposé être parmi les plus « prudents » offerts sur les marchés financiers.Les agences de notation, qui avaient le mandat d’analyser les produits et de déterminer leur risque, ont toujours maintenu que ces derniers étaient sécuritaires.
La manière habituelle de procéder est de faire une demande d’hypothèque à l’institution financière qui, par la suite, analysera le dossier de la personne, candidate à un prêt, afin de savoir si elle est éligible pour obtenir un financement. La crise vient donc de l’accord de trop de subprimes qui ne seront jamais rembourser, en effet l’endettement des emprunts est dû à une forte demande de crédit dans les années 2000 dû à un taux d’intérêt faible qui s’élevait à 1% en 2004. Lorsqu’il y a plusieurs maisons à vendre, le pouvoir passe du côté des acheteurs ayant pour conséquence la diminution du prix des maisons.Une situation assez particulière est ainsi apparue. Pour fournir à cette demande, les banques baissaient leurs exigences de qualifications.
La banque devra vérifier le revenu de la personne, ses actifs, et son historique de crédit pour être certaine d’accorder le prêt à une personne qui pourra par la suite faire régulièrement ses paiements.Jusqu’à présent tout est dans l’ordre. Et c’était maintenant au tour des banques d’en être propriétaires. A) les conséquences de la crise . Le marasme économique de 2008-2009, dont les chocs semblent aujourd'hui s'estomper, restera sans aucun doute l'élément déclencheur d'une nouvelle ère. En effet, un propriétaire, en défaut de paiement, pouvait devoir une hypothèque de 200 000$ sur une maison qui n’en valait maintenant que 150 000$ après cette chute de prix. II) les conséquences économique et sociale de la crise . C’est, en toute logique, que ces malheureux propriétaires refusèrent de payer leur hypothèque et abandonnèrent leur maison. On peut aussi constater qu’en considérant la nouveauté et le grand engouement pour ces nouveaux produits à meilleur rendement combinés à la complexité de leur construction, les agences de notation n’ont pas été capables de détecter le danger imminent de la chute financière qui se pointait assurément à l’horizon.Les banques et les firmes d’investissement ont tellement subi de pertes dans cette aventure qu’elles ont dû faire appel au gouvernement américain afin d’éviter une plus grande catastrophe financière encore.
Cette cote très élevée a permis aux entreprises et aux fonds de pension d’y investir alors qu’auparavant ils étaient limités à des produits gouvernementaux qui offraient des taux assez bas.Plusieurs fondations et plusieurs grandes institutions financières appliquent des critères minimaux pour leurs investissements. Les taux d'intérêts augmentent donc considérablement, et des millions d'Américains ne peuvent plus rembourser leurs emprunts.Elle permet de choisir les éléments de la page à imprimer :Elle permet de découvrir des astuces et raccourcis autour des articles.Elle permet de sauvegarder les articles, les médias, les événements et tout type de documents de la base Universalis dans votre espace dédié. d’une ampleur inédite depuis la Grande Dépression. De plus, investir dans les hypothèques était presque garanti car:Ces produits regroupés devenaient de plus en plus populaires, surtout auprès des investisseurs qui recherchaient des produits « prudents ». Encore trop tôt pour juger de ce changement de cap, reste alors l'hypothèse que la crise économique mondiale perturbera l'état des relations internationales et ouvrira puissances économiques. Seulement en 2006 les taux d’intérêt grimpe passant de 1 à 5% ce qui laissa place à des charges financières et des emprunts considérablement alourdies, conséquences les ménages à faible revenus n’ont pas pu faire face. des banques et des marchés financiers, et elle s’est en outre?