Et de plus en plusVinciane Despret : « Ne déclarons pas la guerre au vivant »« Pour que la justice soit respectée, il faut qu’elle soit réellement indépendante »« Les guides-conférenciers réclament des pouvoirs publics reconnaissance et protection »« The Vigil » : un film d’horreur sans grande originalité« Vendetta », la folle histoire d’une vengeance corse« Blood & Water », « Queen Sono » et « Trackers », trois séries sud-africaines, des banlieues chics du Cap au veldUne femme énigmatique, un engrenage infernal… : les films à voirSur l’île de Ré, l’hôtel Le Sénéchal, un trésor cachet« C’est un message d’adieu » : le secret du dernier tableau de Vincent Van GoghS’aimer comme on se confine : « Il n’avait pas envie de venir et maintenant on va rompre »Les recettes de l’été : le menu d’Amandine ChaignotS’abonner, c’est consulter chaque jour le journal en version numérique et ses suppléments Olivier Rolin a rouvert ses carnets, rédigés en trente ans de pérégrinations planétaires, pour en tirer la substance d’« Extérieur monde ». Le résultat invite à relire son œuvre et à en relever quelques images fixes. Sept cent cinquante mille, ce n’est pas un ordre de grandeur, c’est le total des chiffres compilés par le huitième département (« comptabilité-statistiques ») du NKVD lui-même, légèrement augmenté par les chercheurs de l’association Mémorial pour tenir compte des exécutions hors quotas, non comptabilisées. Ce dernier restera connecté avec ce compte.Non. Si le thème n’est certes pas nouveau, on sent qu’Olivier Rolin nous livre également ses états d’âme sur la fin de l’illusion que fut celle du socialisme, en entremêlant la 1ère et la 3ème personne dans son récit.
BEKAERT MAXIME Alors, comme ce livre est un peu atypique comparé aux 8 autres de la liste, je pense qu'il est préférable de commencer la fiche de lecture dans le désordre. Olivier Rolin, car c’est de lui dont il s’agit, « se jette donc à l’eau ». Puis on rinçait la toile, il y avait, à tous les étages de la Loubianka, un souci de propreté. Ce total effarant n’inclut pas les nombreuses morts « naturelles », de faim, de froid, d’épuisement, dans les camps du Goulag pendant cette période.J’ai beaucoup apprécié ce livre. Au premier tour, des voix se sont aussi portées sur Jean-Luc Coatalem et Olivier Rolin. Olivier Rolin – Le météorologue 12 décembre 2019 25 février 2020 Patrice « Je n’ai pas caché les faiblesses d’Alexeï Féodossiévitch, quand je les connaissais. Mais rien de plus hormis une « annulation de la condamnation à mort »… (ça ne s’invente pas). Olivier Rolin se remémore ses pérégrinations dans «Extérieur monde» Par Frédérique Roussel — 18 octobre 2019 à 17:06 «Portrait de l’artiste en globe terrestre». Mais tant d’autres, surtout, dont nous n’avons pas retenu les noms.L’une des choses frappantes du livre, notamment quand on sait que l’issue ne sera guère heureuse, c’est de le voir écrire à sa femme On perd la trace du météorologue en 1937.
Que ce soit dans les descriptions de paysage, ou dans le récit des exécutions sommaires, ce livre triste nous touche profondément. Je passe un nouvel hiver ici, je ne vois pas briller la lumière au fond de la nuit, je devrai encore en passer sept comme ça. Lui aussi a cru à cette espérance.
Enfin, c’est une invitation à nous plonger dans l’oeuvre de certains auteurs russes, comme Vassili Grossmann ou Ivan Bounine.Le météorologue, de Jean Rolin. Ca se passait dans les sous-sols. L’écrivain Olivier Rolin chez lui, à Paris, en juin 2019. Olivier Rolin passe son enfance au Sénégal, puis étudie au Lycée Louis-le-Grand et à l’Ecole Normale Supérieure. Notre avis. Son épouse n’apprendra que 19 ans plus tard qu’il fut condamné à mort. Et j’ai eu beaucoup de plaisir à lire ton billet qui m’a remis cet essai en mémoire.Merci beaucoup pour ton commentaire. Sa tête voisine avec le petit globe terrestre blanc posé derrière le canapé où il est assis. Olivier Rolin : "Je ne sais pas si j'y suis parvenu, mais en tous les cas, tout ce que je dis dedans est vrai.