Dieu, je T'aime quoique, moins que Ton Amour pour moi!! Sauveur de tous, donnez au médecin la Lumière. Quand je prie, Dieu m'entend; On ...Seigneur Tu nous as traités En tout justice car nous avons péché Car nous avons péchés Nous n'avons pas écoutés Tes commandements Ma... Seigneur ne m’abandonne pas Seigneur ne m’abandonne pas Car si loin de Toi j’ai cherché sans trouver J’ai mal à mon âme je suis si souffran...Magnifique est Notre Dieu Magnifique car Il est grand Magnifique car Il est bon Magnifique est Notre Dieu Contemplez tout l'univers...Nous te louons, Dieu Créateur, Pour ton amour et pour ton Pain. À travers chacune de ces trois voies, on réalise le même objectif fondamental, à savoir la contemplation du Christ et de son mystère.Le culte et l’adoration de l’Eucharistie en dehors de la messe est un fruit relativement récent dans la piété chrétienne. En d’autres termes, c’est ce que dit également l’apôtre Paul quand il écrit : « Et nous tous qui n’avons pas de voile sur le visage, nous reflétons la gloire du Seigneur, et nous sommes transformés en son image avec une gloire de plus en plus grande, par l’action du Seigneur qui est Esprit ».

Elles vont changer votre vie si vous les acceptez, parce qu’elles viennent directement du coeur de Dieu. « À l’intention du peuple qui vous est confié, rendez au Seigneur ce témoignage de vénération : chaque soir faites proclamer par un crieur public, ou avertissez par quelque autre signal que tout le peuple ait à rendre louange et grâces au Seigneur Dieu tout puissant. Il a commencé à se développer, en Occident, à partir du XIe siècle, en réaction à l’hérésie de Bérenger de Tours, qui niait la présence « réelle » et n’admettait qu’une présence symbolique de Jésus dans l’Eucharistie. La différence est que dans le premier cas il y a une présence réelle du Christ, dans le second une présence intentionnelle. A partir de cette date, cependant, il n’y a plus eu, si l’on peut dire, de saint dans la vie duquel on ne remarque l’influence décisive de la piété eucharistique. Enfin, pour les amoureux des vers et de la poésie en général, le lyrisme de cet ouvrage promet un exaltant voyage spirituel à la rencontre de Jésus-Christ, le Sauveur Universel. C’est la perception de la grandeur, de la majesté, de la beauté et en même temps de la bonté de Dieu et de sa présence qui coupe le souffle. Des générations et des générations de fidèles catholiques ont ressenti le frisson de la présence de Dieu en chantant l’hymne Ce que je vais dire à propos de l’adoration et de la contemplation eucharistique s’applique presque autant à la contemplation de l’icône du Christ. Mais un tel acte est-il digne de l’homme ? Voilà pourquoi, dans ce pays, les musulmans font tant de prosélytes : ils enseignent immédiatement et simplement, à adorer Dieu ».Nous, chrétiens, avons une image différente de Dieu — un Dieu qui est amour infini, avant même d’être puissance infinie — mais cela ne doit pas nous faire oublier le devoir primordial de l’adoration. Un bel exemple non seulement de dialogue entre les différentes religions, mais aussi d’enrichissement mutuel. » (C’est le Nouveau Testament qui a élevé le mot adoration à cette dignité qu’il n’avait pas auparavant. Dans la Bible, l’ordre résonne bien haut : Le geste de Job fut un geste d’adoration quand, s’étant retrouvé face à face avec le Tout-Puissant à la fin de son histoire, il s’écria : « Moi qui suis si peu de chose, que pourrais-je te répliquer ? (La contemplation eucharistique n’est donc pas entravée, en elle-même, par la sécheresse que l’on peut parfois vivre, que ce soit en raison de notre dissipation ou au contraire qu’elle soit permise par Dieu pour notre purification. Ce qui fait que l’adoration est digne de Dieu et en même temps digne de l’homme, c’est la liberté, au sens où on l’entend, non seulement négativement comme absence de contrainte, mais aussi positivement comme un élan joyeux, un don spontané de la créature qui exprime ainsi sa joie de ne pas être Dieu lui-même, pour avoir un Dieu au-dessus d’elle à adorer, admirer, célébrer.L’Église catholique connaît une forme particulière d’adoration qui est l’adoration eucharistique. Recevez la newsletter d'Aleteia chaque jour! Il est fait pour ça.Ce n’est donc pas Dieu qui a besoin d’être adoré, mais l’homme qui a besoin d’adorer.