Film de John Ford avec John Wayne, Jeffrey Hunter, Ward Bond : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, les diffusions TV et les replay. La prisonnière du désert. Ethan Edwards est quasiment un mort-vivant erratique lorsqu’il se lance à corps perdu dans sa recherche ; il dit clairement à Martin que ce qui le différencie le plus des Indiens est qu’il ne se résignera jamais, et que la seule chose qui pourrait lui faire mettre un terme à sa quête serait sa mort. Il ne manquait plus qu'ça, il ne manquait plus que ce film pour clore et commencer le Western. Une chasse longue, très longue qui durera cinq ans. Bande-annonce, séances cinéma, avis, critiques et offres VOD du film La Prisonnière du Désert. Des blancs habités par des question de blancs. James Norton, Vanessa Kirby, Peter Sarsgaard Lire ses 569 critiques La mélancolie poignante du film tient donc à la conscience d'un temps qui échappe et au pouvoir de jouissance des parenthèses joyeuses – la scène du mariage est d'une drôlerie implacable –, des sentiments contrastés unis dans une dernière séquence à la fois heureuse et déchirante, qui mêle en un seul plan l'union et la solitude, le soulagement présent et l'angoisse crépusculaire future. Ford ne prêche pas la bonne parole, ne nous fait pas de morale et c'est tant mieux, il dresse une peinture qui peut faire le lien avec les problèmes racistes des États-Unis dans les années 1950.
Un film beau, fort, puissant et passionnant. Je veux soortiiiir !!" John Wayne trouve en Ethan Edwards l'un de ses grands rôles où se dègage force, individualisme, autosuffisance, charisme et autoritè! Suivre son activité Pas moins de 17 films en commun ont été le fruit de leur collaboration. Non seulement la photographie de Winton C. Hoch s'avère mémorable, avec des paysages naturels magnifiés ou parfaitement mis en valeur, mais la mise en scène brille par son intelligence, sa sensibilité et sa rigueur ; On notera aussi la présence de la jeune Natalie Wood, jouant cette fameuse prisonnière (et c'est sa soeur Lana qui joue ce rôle enfant). Ainsi, cette jeune fille, parce qu'elle aura été élevée par les Commanche, sera-t-elle reniée par le personnage de l'oncle Ethan dans son testament, et qui ne considérera jamais Martin, son neveu par adoption, comme un membre de sa famille à cause de ses origines, même si, malgré les apparences, il est son meilleur ami, la personne dont il est le plus proche, en qui il a le plus confiance. Tous périssent, à l'exception de la petite Debbie, la nièce d'Ethan, et de la jeune Lucy, enlevées par les Indiens. Publiée le 24 mars 2013
Et le soir au coin du feu, on les bouffe en lasagnes.
Le jeune imbécile qui le suit a beau être un crétin, il ne le suit pas jusqu'au bout, pas tout-à-fait en tout cas et c'est là l'un des rares, très rares moments intéressants du film qui abat alors ses justifications pro-raciales et son nettoyage ethnique en filigrane. Le tout est illuminè par un Technicolor à se pâmer et par une saisissante diversitè de paysages dont le coeur du film est Monument Valley! Au-delà de ce message clairement humaniste s'ajoute aussi la question de l'obstination humaine. Quatre ans plus tôt, le maître du classicisme hollywoodien décrochait son quatrième Oscar – record rarement atteint dans l’histoire de l’Académie – avec L’Homme tranquille.
Il y a tout dans la prisonnière du désert, tout le western, toute l'image rongée par les clichés qu'on s'en fait Publiée le 4 janvier 2013
Chouette histoire au demeurant qui exploite avec à-propos ce qui est sans doute arrivé réellement plus d'une fois : une Blanche enlevée et élevée par une tribu d'Amérindiens... Alors quand ce vieux facho de John Wayne décide de se mettre sur l'affaire, on se dit que ça va voler très bas. Dan Scanlon Superbe). Synopsis Allocine La prisonnière du désert : Texas 1868. Ford qui est un optimiste aura démontré avec cette quête de vengeance animale que le bien peut toujours l'emporter sur le mal et qu'un homme n'est jamais complètement irrécupérable. La vision 56 ans après du film sur le support Blu-Ray est tout simplement époustouflante. Grandiose, épique, western des origines, qu'en est-il réellement ? Ethan jure alors de les retrouver et de se venger. Publiée le 31 décembre 2012 Refusant d’écouter les conseils, il se voit en sorte investi d’une mission sacrée à laquelle il est prêt à tout sacrifier. Publiée le 15 mars 2017 Le scénario peut paraître assez classique à la base: un homme recherche pendant de longues années sa nièce enlevée par des Commanches et veut également venger la mort de sa famille.
Le réalisateur nous lègue un chef-d’œuvre du genre avec des plans séquence extrêmement bien filmés, comme les scènes de début et de fin, à travers la porte. Et la où Ford fait très fort, c'est que l'on a de la sympathie pour ce personnage merveilleusement incarné par John Wayne, alors qu'au final ce n'est qu'un tueur raciste. Difficile après ça de taxer le réalisateur de racisme. Lire ses 261 critiques Félix Lefebvre, Benjamin Voisin, Philippine Velge La Prisonnière du Désert est un des films le splus connus du maître qu'est John Ford. Au moins chez Hawks on ne massacre pas d'Indiens, les blancs se tuent entre eux.